François Sagat avec sagacité

Jeudi 15 février 2007


François Sagat est un beau bébé de quatre-vingt-un kilos, au visage taillé à la serpe et au corps sculpté par des heures de musculation. Je ne pesais pas lourd, jeudi dernier à la salle de sport, quand on attira mon attention sur la présence en personne de cette Star du x.
Déjà, il y a sa peau légèrement halée, qui laisse présager un retour prématuré de quelques destinations ensoleillées qu’on imagine peuplées de caresses et de pilonnages en règle. Et puis surtout ce corps massif, aux reliefs éblouissants, véritable hymne au désir, qui fait saillir des muscles dont on ignorait même l’existence.
Mais cette plastique à un prix, qui se paye forcement en sueur, en sacrifice alimentaire et en égocentrisme chuchoté.
Certes la petite taille du bonhomme pourra en surprendre plus d’un, dans la mesure où le cinéma n’a pas son pareil pour filouter sur les mensurations et les tailles et nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Une chose est sur, le hardeur est joli, masculin, à peine cabotin. Il porte un pantalon de jogging large qui semble dissimuler des trésors et un débardeur très échancré qui nous livre une partie du butin.
Alors quand il disparaît parmi les anonymes et se soustrait à nos regards concupiscents, on se recroqueville sur notre imaginaire et on l’accable jalousement à tort d’une inculture crasse.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Et en stéroïdes !... Joli quand même.