18, 20, 17 , 22 … une série de chiffres qui à l’instant même ou vous posez vos yeux dessus ne vous émeut pas plus qu’un bulletin météo présenté par Evelyne Dheliat.Cependant, il est des circonstances ou cette valse des nombres peut revêtir un tout autre intérêt; celui du pouvoir, de l’admiration, de la fascination .Prenez par exemple le chiffre 21, collé lui une mesure d’étalonnage comme le centimètre et envoyez le franco de port sur un quelconque chat branché . Vous constaterez alors avec surprise, l’attraction libidineuse que vous susciterez.Certains l’ont bien compris et s’adonnent souvent à une surenchère capable de ridiculiser un Rocco Siffredi ou un Jeff Stryker.Pourtant la réalité est tout autre : Une étude menée sur 189 hommes consultant dans un centre pour dysfonction sexuelle, publiée dans "le sexe de l'homme", R. Virag, indique qu’en érection on constate que la moyenne est de 15,11 cm, et que les deux tiers des verges se situent entre 13,33 cm et 16,89 cm (le tiers restant se situe au-dessous ou au-dessus).La taille du sexe semble donc être une obsession masculine actuelle alors qu’au contraire, pour les Grecs, un homme viril devait être doté d'un petit sexe.Finalement, le plus excitant dans cette guérilla pénienne, c’est que l’on feint de croire à cette réalité virtuelle peuplée de miroirs déformants.
Publié le 17 septembre 2006
1 commentaire:
hmm je pense en tant que personne vivant dans la moyenne que j'aurais aimé vivre avec les grecs sniff sniff lol le plus important est d'etre biens dans sa tete et peau
et puis les grosses moi j'ames pas trop
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